Pourquoi cultiver du Cannabis et CBD en altitude ?

Les avantages du CBD Mountain Grown cultivé en altitude

Le CBD Mountain Grown, aussi appelé MG, c’est quoi exactement ? Qu’est-ce qui fait la particularité de ce CBD suisse cultivé en montagne ? Qu’est-ce qu’une plante qui pousse en altitude dans l’air pur des Alpes a comme différences comparée à une plante poussant en plaine ? C’est ce que l’on va t’expliquer dans cet article. 

Les origines du cannabis

Selon les chercheurs, le cannabis trouve son origine en Asie. On en trouve les premières traces d’utilisation il y a près de 8000 ans dans les régions du Kazakhstan et du Népal, au cœur des montagnes de l’Himalaya. C’est là que ça devient intéressant pour nous. Bien que la plante de cannabis soit, dans la croyance populaire, originaire des chaudes régions de la Jamaïque, on voit ici que ses origines semblent bien différentes de ce cliché, dans les hauteurs et le froid de l’Himalaya. Selon l’ethnobotaniste G.K. Sharma, qui présente le cannabis comme « l’un des plus vieux associé de l’homme », cette plante est citée dans d’anciens textes sacrés sanskrits, appelée « libératrice » ou « donneuse de joie ».  Les premières traces de son utilisation médicinale viennent du Sushruta Samhita, l’un des textes fondateurs de la médecine Ayurvedic. Par la suite, on peut observer différents usages du cannabis au court des siècles : comme médicament par exemple, avec une première description de son usage par l’empereur de Chine Shen Nong en 2737 av. J.-C., puis par les grecs bien des siècles plus tard. Il fut aussi utilisé pour fabriquer des cordes et des tissus dès le début de son apparition, puis en Russie, en Grèce antique et même par les vikings ! 

Est-ce que le CBD pousse mieux quand il est cultivé en altitude ?

Pourquoi des plantes de cannabis poussant à plus de 1000 mètres d’altitude, comme en Valais dans les Alpes Suisse, peuvent être de meilleure qualité que d’autres ? Il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, comme l’air de la montagne. Les plantes de cannabis sont très gourmandes et absorbent tout ce qu’elles peuvent. Le sol des montagnes valaisannes est très riche et de bonne qualité, de même que son air en altitude où la pollution y est quasi nulle ! Avec ces éléments, les fleurs issues de plantes poussant dans ces conditions seront de bien meilleure qualité. A cette altitude, les nuisances sonores y sont aussi quasi inexistantes, assurant à la plante un environnement calme pour sa croissance. Du fait aussi de l’altitude, l’air y est certes plus pur, mais aussi plus restreint, ce qui donnera des plantes plus trapues avec des fleurs plus grosses et concentrées ! 

Ces éléments influeront aussi sur les taux des différents terpènes présents dans la plante, qui seront plus concentrés dans une plante de cannabis poussant en altitude, selon une étude réalisée dans le nord de l’Italie, sur l’autre face des montagnes les séparant du Valais. Certes, les différences varient en fonction du type de plante, mais les chiffres semblent bien tendre vers une différence effective entre les plantes poussant en plaine et celles poussant à plus de 1000 mètres. On sait aussi que la plante de cannabis est plutôt exigeante sur son arrosage et ses nutriments. L’eau que l’on trouve en Valais provient directement des glaciers, et lors de sa descente à travers les vallées, elle absorbe de nombreux nutriments et minéraux en coulant à travers les roches, qui iront nourrir la plante de cannabis ! Le climat valaisan est aussi particulier. Encerclé de toute part par les montagnes, il y fait généralement beau et chaud du fait que les nuages ont souvent du mal à franchir cette barrière naturelle qui la protège. De ce fait, la plante de cannabis peut bien profiter du soleil et de sa chaleur, les rayons UV étant aussi moins filtrés en hauteur. 

La lune influence le cannabis cultivé en altitude

L’inclinaison lunaire, particulièrement propice en Valais, a aussi son importance. En effet, selon la phase dans laquelle se trouve la lune, la plante de CBD aura plus de facilité pour certaines tâches. Lors d’une lune descendante, une bouture sera bien plus réceptive à un rempotage et cette opération sera bien moins traumatisante pour elle. Alors que lors d’une lune montante, la sève de la plante sera d’avantage attirée vers le haut, ce qui donnera une récolte plus gouteuse ! Il y a aussi des périodes lunaires où il vaut mieux laisser ses plantes tranquilles, comme lorsque la lune est à son apogée (sa phase la plus éloignée de la terre) et à son périgée (sa phase la plus rapprochée de la terre), ainsi qu’en période de nœuds lunaires ou d’éclipses. Pour bien profiter de tous les bienfaits des montagnes valaisannes, il vaut mieux cultiver des plantes originaires de l’Afghanistan, du Pakistan ou du Népal, lieux où elles poussent aussi en altitude et dans des conditions similaires, comme par exemple la Floki ou Chill Bud !

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